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tomcat12's Reviews (259)
Je le finirai pas.
J’ai du mal à comprendre l’engouement autour de ce livre. Le style est lourd, les personnages sonnent faux et anachroniques.
C’est dommage, le thème m’intéressait…
J’ai du mal à comprendre l’engouement autour de ce livre. Le style est lourd, les personnages sonnent faux et anachroniques.
C’est dommage, le thème m’intéressait…
emotional
inspiring
lighthearted
reflective
relaxing
fast-paced
Il y flotte un délicieux parfum de lavande et d’enfance, d’armoire de grand mère et d’aïoli. Ça pique et ça chatouille, ça touche au cœur.
La tendresse, la nostalgie, l’intelligence des campagnes, le pays.
Tachons de ne pas nous faire dévorer par les loups et retournons dans l’enclos de monsieur Seguin à l’herbe si verte et tendre, au parfum des collines.
L’écriture est simple, belle et d’une poésie rustique et ravissante. C’est délicat et plein de sagesse, les culs bénis en prennent pour leur grades.
Pagnol, Brassens, Daudet, vraiment ces provençaux savent y faire pour toucher au cœur.
La tendresse, la nostalgie, l’intelligence des campagnes, le pays.
Tachons de ne pas nous faire dévorer par les loups et retournons dans l’enclos de monsieur Seguin à l’herbe si verte et tendre, au parfum des collines.
L’écriture est simple, belle et d’une poésie rustique et ravissante. C’est délicat et plein de sagesse, les culs bénis en prennent pour leur grades.
Pagnol, Brassens, Daudet, vraiment ces provençaux savent y faire pour toucher au cœur.
WoW.
S’il est relativement difficile d’y entrer, il faut le dire ce livre est un sublime.
Le style, l’histoire, tout est parfaitement orchestré dans un tourbillon de lettres qui démarre lentement, certes, mais s’accélère et vous emporte, comme une valse à mille temps.
Un must read absolu.
S’il est relativement difficile d’y entrer, il faut le dire ce livre est un sublime.
Le style, l’histoire, tout est parfaitement orchestré dans un tourbillon de lettres qui démarre lentement, certes, mais s’accélère et vous emporte, comme une valse à mille temps.
Un must read absolu.
Great. Really a great book.
Pas loin des 5 stars mais pas tout à fait.
Les plus :
- Sanderson prend à contre pied la plupart des classiques du 2 eme livre d’une trilogie, qui est souvent le moins haletant (cf les 2 tours^^). C’est compliqué le 2, y’a ni la découverte de l’univers, ni l’apothéose du grand final. Surtout qu’ici, on avait déjà eu un big finale avec la mort de Kelsier et du Ruler… J’attendais des grandes batailles ou un grand voyage peuplé de péripéties, de doutes, de tentations pour Vin. Et non, un siège qui s’étire mais reste haletant, un _bad boy_ qui tente Vin mais sans tomber dans la crise existentielle de l’ado torturé. Des tropes classiques twistés avec intelligence.
- L’écriture est toujours aussi élégante. Sans fioritures, avec des notes humoristiques bienvenues et un rythme maîtrisé, on ne s’ennuie pas, c’est fluide et très agréable à lire.
- les personnages sont fascinants. Surtout Elend. Un vrai good man comme héros, ça devient rare de nos jours où la badassitude fait recette. Elend est bon, intelligent et surtout, normal. Dans un monde où les allomancers ont un tel avantage sur les autres il tire son épingle du jeu avec brio. Écrire un gars bien sur plus de 700 pages sans être chiant ou répétitif, le tenter avec nuance, en faire un acteur essentiel, c’est un tour de force. Et c’est rafraîchissant.
Les moins, qui m’ont fait hésiter quand à la 5 eme étoile… : quelques petites facilités, comme le Mistshadow qui attaque Elend à la fin, ou Staff et sa maîtresse, Elend qui devient Mistborn, quand sa force résidait dans son absence de pouvoir. À voir, peut-être que le livre suivant expliquera ces quelques écueils. Je reviendrai vous dire ça
Pas loin des 5 stars mais pas tout à fait.
Les plus :
- Sanderson prend à contre pied la plupart des classiques du 2 eme livre d’une trilogie, qui est souvent le moins haletant (cf les 2 tours^^). C’est compliqué le 2, y’a ni la découverte de l’univers, ni l’apothéose du grand final. Surtout qu’ici, on avait déjà eu un big finale avec la mort de Kelsier et du Ruler… J’attendais des grandes batailles ou un grand voyage peuplé de péripéties, de doutes, de tentations pour Vin. Et non, un siège qui s’étire mais reste haletant, un _bad boy_ qui tente Vin mais sans tomber dans la crise existentielle de l’ado torturé. Des tropes classiques twistés avec intelligence.
- L’écriture est toujours aussi élégante. Sans fioritures, avec des notes humoristiques bienvenues et un rythme maîtrisé, on ne s’ennuie pas, c’est fluide et très agréable à lire.
- les personnages sont fascinants. Surtout Elend. Un vrai good man comme héros, ça devient rare de nos jours où la badassitude fait recette. Elend est bon, intelligent et surtout, normal. Dans un monde où les allomancers ont un tel avantage sur les autres il tire son épingle du jeu avec brio. Écrire un gars bien sur plus de 700 pages sans être chiant ou répétitif, le tenter avec nuance, en faire un acteur essentiel, c’est un tour de force. Et c’est rafraîchissant.
Les moins, qui m’ont fait hésiter quand à la 5 eme étoile… : quelques petites facilités, comme le Mistshadow qui attaque Elend à la fin, ou Staff et sa maîtresse, Elend qui devient Mistborn, quand sa force résidait dans son absence de pouvoir. À voir, peut-être que le livre suivant expliquera ces quelques écueils. Je reviendrai vous dire ça